Le ministre de l’Éducation, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche a donné un an aux six centres d’éducation populaire (CEP) de Montréal pour se relocaliser.
Le 26 mai, soit quatre jours avant la fin de leur bail locatif, les six CEP de Montréal ont appris qu’ils ne «seraient pas à la rue». Un soulagement qui cache aussi une série d’inquiétudes pour l’avenir de ces organismes qui desservent plus de 6000 familles.