Le ministre de l’Éducation, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche a donné un an aux six centres d’éducation populaire (CEP) de Montréal pour se relocaliser.
Le 26 mai, soit quatre jours avant la fin de leur bail locatif, les six CEP de Montréal ont appris qu’ils ne «seraient pas à la rue». Un soulagement qui cache aussi une série d’inquiétudes pour l’avenir de ces organismes qui desservent plus de 6000 familles.
Il faut dire que depuis leur création, il y a plus de 40 ans, les CEP avaient toujours été hébergés dans des locaux de la Commission scolaire de Montréal (CSDM). Une logique pour Marie-Andrée Painchaud, coordonnatrice au Carrefour d’éducation populaire de Pointe-Saint-Charles puisque les CEP «rejoignent une population que la CSDM n’arrive pas à rejoindre elle-même.»
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