Selon le ministre François Blais, les six centres d’éducation populaire avaient proposé au gouvernement « d’aller chercher des fonds supplémentaires pour réaliser un montage financier pour assurer la survie à long terme ». En fait, c’est lui qui avait demandé aux CEP de mettre sur pied un « plan d’affaires » pour prouver notre viabilité financière et d’aller donc chercher du financement au privé.
Nous réitérons au ministre nos exigences fondamentales : que le ministère de l’Éducation conserve la propriété publique des bâtiments, finance les coûts d’opération et de rénovation des bâtiments, et renouvelle le financement à la mission qui nous a été retiré. Il n’est pas question de déménager ! Nous resterons ici !