Les six centres d’éducation populaire de Montréal doivent présenter d’ici la fin du mois des plans d’affaires au gouvernement du Québec pour démontrer qu’ils sont en mesure de trouver un financement de 750 000$ annuellement. La tâche s’annonce impossible, disent-ils.
«On a déjà essayé et on essaie encore et ça ne fonctionne pas, a lancé jeudi la coordonnatrice adjointe du Carrefour, Marie-Andrée Painchaud. Il n’y a pas d’argent au privé. C’est mission impossible.»