Les centres d’éducation populaire de Montréal doivent prouver au gouvernement d’ici le 31 octobre qu’ils peuvent récolter 600 000$ de plus par an, ou leur avenir pourrait être menacé.
«On a peur», lâche Louise Montgrain, directrice du Pavillon d’éducation communautaire Hochelaga-Maisonneuve, un des six centres d’éducation populaire (CEP) en ville.