Environ la moitié des personnes ayant une déficience intellectuelle ont été agressées sexuellement à une ou plusieurs reprises dans leur vie. Une réalité qui fait mal, un tabou que vient mettre en lumière la première recherche réalisée au Canada sur ce sujet trop souvent occulté.
Diane a une fille de 34 ans, Louise, atteinte de trisomie. Encore aujourd’hui, elle craint qu’elle ne soit agressée. Il y a dix ans, elle retrouvait Louise, qu’elle croyait en sécurité chez son père, en état de choc, agressée sexuellement par un ami de passage.