Au Québec, 19 personnes sur 100 ne savent pas bien lire et écrire.
Dans les groupes d’alphabétisation populaire, les adultes viennent apprendre à lire, à écrire et à calculer.
Ils apprennent aussi à communiquer, à se débrouiller dans la vie de tous les jours et à défendre leurs droits.
Dans les groupes d’alphabétisation populaire, on donne le temps aux gens d’apprendre.
On leur donne une autre chance dans la vie.
On peut apprendre à tout âge. On apprend toute notre vie.
Les groupes d’alphabétisation populaire sont nécessaires, mais ils n’ont pas assez d’argent.
Les groupes sont inquiets pour leur avenir.
Nous demandons au ministre de l’Éducation, du Loisir et du Sport de donner assez d’argent aux groupes d’alphabétisation populaire pour qu’ils continuent leur travail.